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L’adaptation à la crèche, notre expérience

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Cela fait maintenant un mois que Fiona a fait son adaptation à la crèche et j’avais très envie de vous raconter notre expérience dans un article pour peut-être donner une idée à d’autres mamans de comment ça marche, pour mettre toutes les chances de leur côté pour que cela se passe au mieux même si chaque expérience est différente.

Inscription à la crèche

A Grenoble et dans toutes les grandes villes je pense, il faut s’inscrire plusieurs mois à l’avance pour avoir une place en crèche. Généralement les parents s’inscrivent quand la maman est encore enceinte pour avoir plus de chance d’avoir une place pour la reprise du travail.  Personnellement, étant à mon compte et travaillant depuis chez moi, j’ai eu la chance de pouvoir décider de garder Fiona avec moi à la maison pendant un an

J’ai donc pris contact avec le pole petite enfance de ma ville en février pour demander une place en septembre. J’ai demandé la garde de Fiona 3 jours par semaine, peu importe les jours de le semaine et le nombre d’heures minimum qui est de 9h à 17h donc 8h par jour. A première vue ça me paraissait vraiment long pour des petits mais j’ai compris que c’était parce qu’ils ne veulent pas avoir de parents qui arrivent à toute heure et interrompent les enfants dans leurs activités.

Fiona, un an

A la maison

Avoir Fiona à la maison et continuer mon activité professionnelle a demandé une grande organisation mais je suis fière d’avoir réussi. Cependant, elle a commencé à marcher à 11 mois et ça devenait de plus en plus sportif de travailler et de la surveiller en même temps. Même si j’étais ravie de l’avoir avec moi, ce n’était pas des conditions optimales et l’entrée en crèche tombait bien finalement.

L’angoisse de la séparation

Autour du 8ème mois, bébé peut développer une appréhension à être séparé de sa maman, c’est la fameuse “angoisse de la séparation”. Avant cet age, il  n’a pas vraiment conscience qu’il est une autre personne mais après il comprend que lui et sa mère sont dissociés d’où la peur d’être séparé

Etant toujours avec Fiona, elle n’a jamais vraiment été angoissée par la séparation. Nous l’avons fait garder quelques fois par ses grands-parents qu’elle connait bien et il n’y a pas trop eu de soucis. Mais je savais qu’à un an, elle aurait conscience de cela et j’avais assez peur pour son entrée à la crèche. Je me suis demandé si je n’aurais pas dû la mettre avant mais j’avais du mal à me faire à l’idée de la laisser si petite en collectivité, passer la journée avec d’autres enfants alors qu’elle n’avait pas encore construit son individualité, cela ne me semblait pas optimal. Mais beaucoup de mamans n’ont malheureusement pas le choix… 

L’entrée à la crèche

L’adaptation

Pour familiariser l’enfant avec ce nouvel environnement, il est important de le laisser s’habituer petit à petit et de passer aussi un peu de temps aussi avec lui pour qu’il se sente rassuré. Dans chaque crèche, l’adaptation est une première étape primordiale. Dans notre cas, pour la première semaine (de 3 jours), le premier jour : je restais une heure avec elle puis une heure seule. Le deuxième jour : deux heures toute seule et le troisième jour : trois heures. Si besoin l’adaptation pouvait se poursuivre sur la deuxième semaine, ce que nous avons fait jusqu’à arriver tout doucement aux huit heures par jour.

Le premier jour

Le premier jour nous avons été accueillis par Stéphanie, une auxiliaire de puériculture qui allait être notre référente au sein de la crèche. Elle a nous fait visiter les locaux, nous a expliqué le fonctionnement, le rythme de la journée puis nous nous sommes assis dans une petite salle avec des tapis pour parler de Fiona et faire le point sur ses petites habitudes. Le personnel souhaite vraiment connaître votre bébé pour pouvoir répondre au mieux à ses besoins

Pendant que nous discussions, la porte était entre-ouverte sur la salleles grands (de 17 mois à 3 ans) jouaient. Fiona était hyper curieuse et regardait à travers la fente. Stéphanie a eu alors l’idée de la laisser aller voir d’elle même, si elle le souhaitait, la salle avec les grands et peut-être jouer avec eux. Elle a quand même prévenu le personnel de faire quand même attention à Fiona ;). Celle-ci est directement partie dans l’autre salle, elle a attrapé une petite poussette et s’amusait tout en observant les autres enfants. Ça m’a fait énormément plaisir de la voir comme ça, j’étais rassurée. Je me suis toute suite dit qu’elle allait s’y plaire.

L’heure écoulée, je devais la quitter pour la première fois. J’ai vraiment essayé de ne pas lui montrer mon inquiétude mais les bébés ressentent quand même les choses. J’ai dit aurevoir à Fiona avec un câlin, des bisous, un petit coucou et surtout je lui ai dit que je revenais bientôt. Elle n’a pas eu le temps de réaliser je pense car je me suis très vite éclipsée. Je savais qu’il ne fallait pas trop éterniser les aurevoirs car ça serait aussi dur pour elle et que pour moi.

Je suis rentrée chez moi, j’habite à même pas 10 minutes à pieds. J’ai fait un peu de ménage pour m’occuper l’esprit mais je regarderais l’heure toutes les 5 minutes. J’avais quand même espoir que cela se passe bien vu comme elle avait l’air d’apprécier la première heure. De retour à la crèche, Stéphanie m’a dit que Fiona avait réagi, elle a pleuré mais elle s’est raccrochée à elle, son repère de la première heure et voyant d’autres bébés plus petits qu’elle pleurer, elle leur faisait des caresses pour les consoler, trop mignonne !

Les jours suivants

Le deuxième jour, je suis restée à peine 10 minutes avec Fiona et je l’ai laissée. Elle a hurlé quand je suis partie et malheureusement ils n’ont pas vraiment réussi à la calmer après. Idem le troisième jour…

La deuxième semaine, j’avoue que j’avais vraiment le cœur noué de la laisser. J’ai demandé au personnel de m’appeler si elle pleurait indéfiniment et je pouvais appeler moi si j’étais trop inquiète. A chaque départ, c’était le déchirement. J’arrivais chez moi avec une envie de pleurer et d’aller chercher au plus vite mon bébé. J’ai d’ailleurs posté quelques fois ma tristesse sur les réseaux et vos messages rassurants m’ont fait du bien, merci ♥. Je me sentais vraiment mieux le mercredi et le vendredi quand je gardais ma chipie avec moi. Cette deuxième semaine, Fiona a encore beaucoup pleuré mais ce n’était pas catastrophique selon les puéricultrices. Il y avait quand même des moments où elle jouait et elle mangeait correctement, c’était déjà ça ! 

La troisième semaine, Fiona pleurait mais quand même beaucoup moins. La météo s’est améliorée alors ils ont été joué dehors dans la cour et pour la première fois, ils ont entendu sa petite voix, ses petits cris. Elle se sent vraiment dans son élément en extérieur et joue comme une folle. Par contre dedans, elle a un peu de mal quand il y a beaucoup d’enfants (certains jours, ils sont plus nombreux que d’autres) et elle n’aime pas trop les passages du personnel ou des parents…  

Enfin la quatrième semaine fut vraiment celle où nous avons constaté des améliorations. Pour la première fois, Fiona n’a pas pleuré quand je l’ai laissé, ce fut une grande victoire, un immense soulagement ! Elle ne passe plus la majeure partie de son temps à pleurer, juste quand elle est fatiguée.  Elle s’est habituée au lieu, aux enfants et aux puéricultrices. Elle est même contente quand on arrive dans le hall et que je dépose ses petites affaires dans le casier. Il arrive encore quelques fois où elle pleure quand je pars mais ce ne sont plus des hurlements et elle se calme rapidement.

Bilan

Il aura quand même fallu 3 bonnes semaines pour que Fiona s’acclimate à la crèche. Ça a été difficile pour elle et aussi pour moi. Je suis contente qu’on ait tenu le coup car j’avoue avoir pensé de nombreuses fois à la retirer. Après tout j’ai travaillé avec elle à la maison pendant un an, pourquoi pas le faire un an de plus encore ? Mais je sais que c’est pour notre bien, pour qu’elle ne soit pas toujours collée à moi, qu’elle découvre et s’éveille à d’autres choses et moi, pour avoir enfin du temps pour travailler et du temps pour moi. Ce sera aussi moins difficile pour son entrée à l’école, j’imagine… Dans tous les cas, je pense qu’à la longue elle se serait ennuyée avec moi et à la crèche, ils font de super activités 🙂 !

Comment et à quel age vos enfants ont-ils gardé ? Comment les débuts se sont ils passés ?

Commentaires

20 commentaires sur “L’adaptation à la crèche, notre expérience

  1. mamantwin

    Bonsoir !

    ravie de lire que l’adaptation de votre puce s’est au final bien déroulée ! Ici je reprend le travail en juin après deux ans de congé parental, et nous commençons l’adaptation début mai. Je n’ai laissé mes jumeaux que 2 fois chez mes parents, et ça a été plus difficile pour moi que pour eux, j’espère que ça sera pareil !

    Reply
    1. Maman Comète

      Bonjour,
      Merci pour ton message. Comme je le dis dans l’article, essaye de ne pas trop leur montrer ton inquiètude, si maman est rassurée, ils le seront aussi 🙂 ! Courage, c’est difficile mais au final je pense que ça finit par bien se passer pour tout le monde.
      Bises

  2. Myrtilla

    Coucou ! Très intéressant ton article, car d’habitude je vis les choses dans le sens inverse, vu que je suis éducatrice 🙂 et c’est intéressant de connaître ton avis, je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir autant d’inquiétude ! Effectivement très souvent les enfants pleurent quand le parent part, mais ils finissent toujours par se calmer 🙂
    En tous cas je suis contente pour toi que ça aille mieux ! Tu verras, bientôt elle fera la tête quand tu viendras la chercher, elle ne voudra plus rentrer à la maison 😛 (figures toi que nous on a même des enfants (4 ans) qui ne disent même pas au revoir à leur parent, ni leur font de bisous ni rien… ils ont pas envie ils disent, malgré le fait qu’insiste un peu.. mais bon.
    Bonne suite avec ta petite ! 🙂

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Myrtilla,
      Merci pour ton message très intéressant également. Haha j’espère vraiment qu’elle ne voudra plus partir de la crèche et qu’elle la verra comme un endroit où on s’amuse et on fait plein d’activité super chouettes 😀 !
      Bisous

  3. Le monde de jenn

    coucou
    j’ai pris beaucoup de plaisir à te lire.
    Pour mon aînée, ma fille, nous n’avons pas pu la mettre en crèche, faute de place, bien qu’on s’y soit pris tôt. Nous sous sommes rabattus sur l’assistante maternelle et au final, je ne regrette pas du tout. Tout s’est toujours super bien passé. Elle y est allée elle avait 3 mois. Jusqu’à cette rentrée de septembre. Il y a très peu de fois ou elle était réticente à y aller. A mon grand soulagement. Car la voir pleurer à chaque fois, je ne supporterai pas. Parfois elle ne me disait même pas aurevoir et c’est tant mieux. Il en est au final de même pour l’école. Elle est ravie d’y aller et pourvu que ça dure. Ça m’angoisse vraiment ça.
    Quant à mon petit. Il ne ressemble en rien à sa sœur. Aime beaucoup plus les bras. A besoin de monde autour de lui. Il va déjà chez la nounou (la même que sa sœur) et ça se passe bien. Il est encore trop petit pour comprendre mais j’espère que ça se passera tout aussi bien ensuite et qu’il vivra bien la “séparation”.
    Ma fille a toujours été très indépendante et autonome. Toutefois en grandissant elle est bien plus câline et bisous. Ce qui me chagrine en revanche c’est qu’elle veuille jamais allée chez aucun papi-mami.
    Enfin bref, j’en ai assez dis.
    Je pense que c’est normal que le temps d’adaptation est été quelque peu long. Elle a toujours été avec toi mais c’est bien qu’elle s’ouvre au monde. Tu vas la voir grandir et évoluer à une vitesse folle.
    Je vous souhaite plein de bonnes choses, ensemble et chacune de votre côté.
    Bisous

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Jennifer,
      Merci pour ton retour d’expérience 🙂 ! L’assistance maternelle c’est le premier choix que j’aurais voulu également car il y a moins d’enfants et c’est plu calme. Mais à Grenoble quand on demande une place à temps partiel, on a accès qu’aux crèches collectives. Mais bon finalement c’est sympa aussi d’être avec plein de petits copains.
      J’espère aussi que ça ira pour ton petit mais si il est déjà habitué, ça devrait aller 🙂 ! Oh bizarre cette histoire de Papi et mami, c’est dommage :/ !
      Bisous, à bientôt

  4. Merveille Beauté

    Coucou Romy !
    Je pense que les premiers jours sont vraiment très difficile pour le bébé et la maman aussi ! Finalement tu as une petite routine avec ta princesse avec laquelle tu reste tout le temps et d’un coup tu es amené à te séparer ! Mon neveu avait très mal réagit à ses débuts aussi mais maintenant à l’école il est plus adapté 🙂
    Bisous <3

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou !
      Super pour ton neveu, c’est clair que tous ces changements ne doivent pas être faciles pour eux. Mais en tout cas, avec un peu de persévérance, ils finissent par s’y faire même si ça fait mal au coeur au début.
      Bisous

  5. BeautyEveryday

    Et oui ce n’est jamais facile, surtout les premiers jours, j’imagine bien à quel point cela doit être dur de laisser son bébé pleurer et de partir 🙁
    Ma nièce qui a à peu prés l’age de Fiona, cela se passe pas bien, ma sœur va l’enlever pour plusieurs raisons, cela dépend peut être des crèches mais celle-ci est vraiment bof :/ ça fait trop de peine 🙁
    Je sais qu’on dit que c’est important pour sociabiliser l’enfant etc mais je n’ai jamais été à la crèche et je crois être sociable haha l’école m’était plus adapté !
    pour les mamans qui peuvent garder je pense que c’est le mieux, en tout cas c’est ce que ma sœur va faire 😀
    Gros bisous ma belle <3

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Alexia,
      Oh oui c’est vraiment un déchirement de laisser quand elle pleure.
      Mince navrée d’apprendre ça à propos de ta nièce, c’est sur que ce n’est pas adapté pour tous les petits, chacun a ses besoins et elle a besoin encore de sa maman et qu’elle peut la garder alors ça sera mieux 🙂
      Bisous

  6. Audrey

    Coucou ma belle Romy,
    La crèche c’est top pour la socialisation des enfants. En plus, ça les prépare bien à l’école, tu n’as pas à regretter ton choix.
    Ta petite va faire d’énormes progrès, en collectivité ça va encore plus vite, tu verras!
    Bises

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Audrey,
      On continue les progrès, maintenant Fiona ne pleure plus et elle part jouer ! Le grand soulagement 😀
      Bisous

  7. Maman Sur Le Fil

    Cela s’est finalement calmé et c’est l’essentiel… pas évident de passer du cocon du foyer à ce lieu fourmillant d’enfants, d’activités et de bruits… Mais elle s’y plaira, cela ne fait aucun doute… Le temps, la confiance et la patience sont la clé dans ces périodes…

    Virginie

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Virginie,
      Effectivement le temps apaise les choses, il faut qu’ils s’habituent et se sentent en sécurité. En tout cas maintenant Fiona ne pleure plus et part jouer dès que je la laisse. Je me sens vraiment mieux 🙂
      Bisous

  8. les Délices de Framboise

    Ici je n’ai jamais vraiment eu à me séparer de lui mais en ce moment je rechercher pour travailler à nouveau et je sens que c’est pour moi que la séparation va être la plus dure.

    En tout cas merci pour ton expérience, j’avais plus ou moins suivi en regardant tes story sur instagram 🙂
    Bisous

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Clarisse,
      Courage, il faut malheureusement passer par là un jour. On y arrive toute, même si c’est dur pour lui et pour nous, le temps apaise les choses.
      Bisous

  9. Nathalie

    Coucou!
    Je suis tombée sur ton article/blog par hasard, et le sujet me parle bien!!! 🙂
    Mon fils a commencé la crèche en Juillet, 3 jours par semaine aussi! Il avait alors 9 mois… On a eu une adaptation au top, jamais de pleurs… Il était trop content quand on arrivait le matin, le soir KO car il avait beaucoup joué…
    Puis il y a eu les vacances…. Et au retour, ça s’est compliqué! Les filles avaient changé, il venait de passer 3 semaines complètes avec nous…. Il ne pleurait pas quand je le laissais, mais quand je venais le chercher le soir, je le retrouvais dans un transat avec son doudou et sa sussu… Et c’est pas du tout dans ses habitudes…. Ça n’a pas duré longtemps, peut être deux semaines, mais qu’est ce que c’est dur de laisser son bébé quand on sent qu’il ne se sent pas bien…. J’avais la boule au ventre en partant de la crèche, j’appelais en fin de matinée, pour qu’on me dise comment ça allait…. Bref, vraiment stressant comme période et tout comme toi j’ai pensé à le retirer…
    Puis tout a coup, il a commencé à s’attacher aux nouvelles filles qui s’occupaient de lui, s’est fait des “copains/copines” et aujourd’hui, je suis sûre que la crèche lui convient à 200%. il s’éclate, il est HEUREUX, et les filles sont au top!
    Je pense que parfois, on leur en demande un peu beaucoup à ses petits bouts… On voudrait tellement qu’ils soient parfaits dans toutes les situations…. Mais c’est pas toujours le cas, il leur faut, parfois un peu de temps…. Je crois qu’au final, c’est nous, les parents qui devrions travailler sur nous même et surtout être conscient qu’on leur demande beaucoup!!!
    Tu verras, la crèche c’est un endroit magique pour eux, ils évoluent énormément au contact des autres enfants!
    Bisous bisous

    Reply
    1. Maman Comète

      Coucou Nathalie,
      Ah oui, mon article arrive presque au même moment que votre adaptation également 🙂 !
      Je suis d’accord avec toi, on leur demande beaucoup. Devoir les laisser avec des “inconnus” au départ, ça doit être tellement dur pour eux. Heureusement qu’ils s’habituent et se sentent en confiance après quelques temps. Pas facile quand les équipes changent, c’est l’inconvénient de la crèche je trouve.
      Merci pour ton message rassurant. Déjà ça va beaucoup mieux, Fiona ne pleure plus et part jouer dès je la laisse, le grand soulagement 🙂
      Bisous

  10. Pingback:Les progrès de bébé (11 et 12 mois) - Blog maman à grenoble

  11. Candice

    Hello,
    Je ne suis pas encore arrivée à cette étape de la crèche, mais je dois avouer que j’appréhende déjà. J’ai un fils de 2 mois et je souhaite attendre ses deux ans avant de l’y mettre. Votre récit me permet de me faire une idée de ce qui nous attend, même si chacun vit une expérience différente.

    Reply
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